L’approche de l’association sénégalaise Kaani (« piment » en wolof) se veut interculturelle.
« Nous rassemblons des jeunes artistes africains et européens pour leur apprendre à s’identifier mutuellement puis à créer ensemble. Ces cocréations et leur restitution constituent la raison d’être de notre projet car elles ouvrent les portes à des voies d’expression nouvelles qui partent du patrimoine identitaire de chaque jeune participant pour aboutir à une œuvre commune. Notre cadre de référence est la scène urbaine désenclavée, c’est à dire ouverte aux formes d’art traditionnelles ou expérimentales. »
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