Cet extrait du texte écrit par le célèbre journaliste guinéen Justin Morel Junior sur la pochette de l’album montre à quel point ce groupe féminin fut une révolution mais aussi un symbole d’émancipation féminine pour l’ensemble de l’Afrique: il fit d’ailleurs des émules puisque le Capitaine Sankara créa des années plus tard Les Colombes de la Révolution au Burkina Faso. Si la musique, moderne et mandingue (saxophones, trompettes, guitares électriques) s’inscrivait bien dans la mouvance musicale de l’époque, le contenu des textes servaient parfois la propagande du parti au pouvoir (“P.D.G.” est un hommage au parti de Sekou Touré) ou étaient de simples chroniques sociales évoquant l’alcoolisme, les rapports homme/femme, etc… Dans “Samba”, s’illustrait au chant Sona Diabaté qui fit plus tard une carrière solo.
Titres:
Face A : 1. Introduction ; 2. Samba ; 3. Tayesala ; 4. Sougouroun baya
Face B : 1. Salimou ; 2. P.D.G. ; 3. I tele ke ; 4. Sona This text written by famous Guinean journalist Justin Morel Junior on the album sleeve demonstrates how revolutionary this group was in the sixties. Les amazones de Guinea became far beyond the Guinean borders a symbole of African women liberation. Inspired by Sekou Touré, Burkinabe President Sankara decided to create « Les Colombes de la Révolution » to promote burkinabe women liberation. Les Amazones played modern mandingo music like most of the groups of that time (electri guitars, horns, afro-cuban influence). Some of their lyrics (P.D.G for example) were promoting Sekou Toure’s policy but most of them were social chronicles about the danger of alcohool or the relations men/women. On “Samba”, one can listen to marvellous singer Sona Diabaté who made later a solo career.
A-Side: Introduction / Samba / Tayesala / Sougouroun baya.
B-Side : Salimou / P.D.G. / I tele ke / Sona.
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