La caisse de résonance (partie haute) qui est plus ou moins « ventrue ». Le forme de ce volume conditionne le son du djembé. Si la cuve est volumineuse, le djembé sera un djembé basse (« jembé ba »). Si la cuve est plus étroite, on parlera de « jembé nin » (petit djembé).
Le pied qui est légèrement évasé vers le bas. C’est lui qui permet l’évacuation de l’air. Sa longueur va permettre de faire varier la projection du son. Les bois Les essences principales sont le teck (couleur jaune : djembé sénégalais), le lingué (ou linké : couleur orange), le guéni (plus sombre et veiné), le diala, le dugura, le bois rouge (ou sow), l’acajou… La Peau Les djembés sont généralement montés avec une peau de chèvre. Celle ci a été rasée et tendue sur le sommet du fût au moyen de cordes reliées à trois cercles métalliques, un autour de la gorge du fût et les deux autres associés à la peau. Certains djembés sont parfois montés avec une peau de veau voire de vache (plus épaisse), ce qui rend le son plus mat et aussi plus aigü. Néanmoins, le jeu sur ces peaux est mauvais pour les mains : la peau est très résistantes et les douleurs et les crevasses se forment plus rapidement ! Les cordes En règle générale, il s’agit de drisse pré-étirée de diamètre 2 à 3 mm. Cette corde est utilisée par les marins. Elle est très résistante et se détend très peu. Ceci permet d’avoir une tension constante de la peau du djembé. * Source: http://www.djembefola.fr
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