“Dans son azmaribet (taverne) toujours bondé, Adanèh Tèka délaisse le langage à double sens pour des textes crus, parfois teintés d'humour et rend également hommage à Bob Marley. Il réactualise le répertoire traditionnel Bahlawi, les musiques du Tigré et de l’Érythrée. Sans son azmaribet (taverne) toujours bondé, il fait délaisse le langage à double sens pour des textes crus, parfois teintés d'humour.”
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