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“Née en 1952 à Djoliba, au Mali, Amy Koïta est issue d'une famille de griots chanteurs et pieux. Auteure-compositrice et grande cantatrice très populaire dans son pays natal, elle navigue entre musique traditionnelle, afro-folk et afro-pop, des styles tirés de la musique mandingue, sans se départir de la franchise et du respect des croyances.”

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Amy Koita est née à Djoliba, au bord du fleuve Niger, une région marquée par la culture malinkée qui guidera son style musical. Fille du célèbre djeli Bengaly Fodé Koita, elle perd ce dernier à l’âge de trois ans et s’installe avec sa mère à Bamako. Influencée par sa grand-mère et son oncle Wa Kamissoko, grand historien du mandingue, elle fait son éducation musicale auprès de sa mère qui lui enseigne les techniques vocales griottiques et l’emmène dans toutes les fêtes où elle se produit.

Révélée en 1966, lors d’un concours de chant, elle débute dans l’Ensemble Instrumental National de Mali à l’âge de 17 ans. et tourne dans le monde entier.

En 1977, au festival des Arts Nègres à Lagos (Nigeria), elle chante en compagnie de Kouyaté Sory Kandia et décide alors d’entamer une carrière solo, produisant en 1978 sa première cassette personnelle, une rupture avec le parcours classique des griots mandingues traditionnels.

Adulée par le public malien, Amy Koita, chanteuse mais aussi compositrice n’a cessé d’imprimer sa voix magnifique dans une douzaine de productions dont plusieurs albums en distribution internationale. Cherchant sa voie dans un style entre musiques malinkée, pop et folk, cette grande cantatrice s’est produite dans le monde entier, remaquée notamment à l’UNESCO à l’occasion de la remise du prix Félix Houphouet Boigny pour la recherche de la paix, en présence des Présidents François Miterrand (France), Mario Soares (Portugal), d’Abdou Diouf du Sénégal, de la Reine Béatrice des Pays Bas, de Jacques Chirac et de Frederico Mayor. Amy Koita est née à Djoliba, au bord du fleuve Niger, une région marquée par la culture malinkée qui guidera son style musical. Fille du célèbre djeli Bengaly Fodé Koita, elle perd ce dernier à l’âge de trois ans et s’installe avec sa mère à Bamako. Influencée par sa grand-mère et son oncle Wa Kamissoko, grand historien du mandingue, elle fait son éducation musicale auprès de sa mère qui lui enseigne les techniques vocales griottiques et l’emmène dans toutes les fêtes où elle se produit.

Révélée en 1966, lors d’un concours de chant, elle débute dans l’Ensemble Instrumental National de Mali à l’âge de 17 ans. et tourne dans le monde entier.

En 1977, au festival des Arts Nègres à Lagos (Nigeria), elle chante en compagnie de Kouyaté Sory Kandia et décide alors d’entamer une carrière solo, produisant en 1978 sa première cassette personnelle, une rupture avec le parcours classique des griots mandingues traditionnels.

Adulée par le public malien, Amy Koita, chanteuse mais aussi compositrice n’a cessé d’imprimer sa voix magnifique dans une douzaine de productions dont plusieurs albums en distribution internationale. Cherchant sa voie dans un style entre musiques malinkée, pop et folk, cette grande cantatrice s’est produite dans le monde entier, remaquée notamment à l’UNESCO à l’occasion de la remise du prix Félix Houphouet Boigny pour la recherche de la paix, en présence des Présidents François Miterrand (France), Mario Soares (Portugal), d’Abdou Diouf du Sénégal, de la Reine Béatrice des Pays Bas, de Jacques Chirac et de Frederico Mayor.

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Nago Seck

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