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« L’art, c’est le plus court chemin de l’homme à l’homme »

André Malraux

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Il y a encore des peuples à qui l’on nie le droit de disposer d’eux-mêmes. Le peuple gabonais en fait partie mais peu le savent, peu en ont conscience. Pour informer sur la situation actuelle de leur pays, 5 artistes gabonais seront au Café de la danse à Paris (75011), le 21 janvier 2017 à 20h00.

Présentation: Bibaka

Date: 21 janvier 2017 – 20h00

Ouverture des portes : 19h30

Lieu: Café de la Danse

Tel: 01 47 00 57 59

5 Passage Louis-Philippe

75011 Paris

Métro : Bastille

Billetterie:

Tarif : 20€ 00

Réservations : Fnac / Digitick

Artistes:

François Ngwa

Né à Port Gentil au Gabon, plongé très tôt dans l’univers de la musique, François Ngwa revendique dès l’origine une double influence artistique : Les rythmes anglo-saxons et la pure tradition de la musique africaine, en particulier gabonaise. Ses premières compositions témoignent déjà de la richesse née de cette fusion entre les deux genres musicaux.

Jann Halexander

« On ne construit pas une œuvre avec de bons sentiments » disait-il à un journaliste de France 3 il y a quelques années. Jann Halexander a choisi un parcours artistique inclassable, un répertoire de chansons provocantes, émouvantes, parfois drôles : « à table », « aucune importance », « Papa Mum ».

Tita Nzebi

C’est un petit bout de femme, à la voix étonnement puissante. Tita Nzebi a une extraordinaire présence sur scène et on a l’impression de la connaître depuis toujours. Il y a ainsi parfois des rencontres magiques, avec des personnes qui rayonnent de quelque chose d’extraordinaire. Tita est de celles-là.

JeaRian
Chantant principalement en langue fang, JeaRian (prononcer Djériane) a un univers qui se veut être une rencontre de cultures. Influencé par les musiques africaines et la musique country, il choisit de définir sa musique par un mot qui désigne, non pas un style musical, mais l’intention qui l’anime : ékaza-folk (ékaza : le pont, la passerelle).

Chyc Polhit
« Je conte pour changer le monde »

Le silence du monde est une aubaine pour toute dictature. Dénoncer une dictature de quelque façon que ce soit c’est déjà l’affaiblir et ainsi contribuer à libérer un peuple. Nous espérons que 500 personnes éprises de liberté se joindront à nous de donner un éclat particulier à ce concert.

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