Cette danse, rythmée par des tambours ngoma soutenant des chants, est pratiquée uniquement par des femmes, est dirigée par une maîtresse de cérémonie appelée « akaga ». Toutes les danseuses sont vêtues de la même manière, avec une ceinture de grelots en raphia autour de la taille. Seule l' »akaga » (cheffe, juge) porte une tenue différente.
Il n’y a que deux hommes présents à la cérémonie : « akaga m’osaka », le chef du fouet, qui surveille et qui n’est pas vraiment dans la danse, il évolue en marge de celle-ci et intervient par exemple pour exhorter les danseuses à se donner d’avantage, à chanter plus fort, etc., et « ebola », le joueur de tam-tam.
*Source: https://www.mandji.net/ivanga.shtml
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