On découvre l’époque où Nairobi, grâce à ses clubs légendaires, ses studios sophistiqués et ses multinationales du disque, attirait des musiciens de toute la région. La capitale kényane était alors un haut lieu de la rumba congolaise et de la soul music africanisée, grâce aux chanteurs Ishmael Jingo ou Steele Beauttah. La répression politique des années Daniel arap Moi (1978-2002) n’est pas oubliée. Condamné pour sédition, Ochieng Kabaselleh, mort en 1998, composa une cinquantaine de chansons durant ses quatre ans d’incarcération.
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Source : https://www.monde-diplomatique.fr/2019/04/SERVANT/59761
Langue : anglais
Nombre de pages : 678
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