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Un roi africain et sa musique de cour. Chants et danses du palais à Porto-Novo sous le règne de Gbèfa (1948-1976) est une étude très approfondie sur les ballets de cour des femmes du roi de Porto Novo. ”

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Introduite par un long chapitre sur la vie musicale du palais, l’étude du ballet de cour qu’exécutent les femmes du roi à Porto-Novo (Bénin) pour d’importants rituels coutumiers constitue l’objet principal de cet ouvrage. Longs poèmes chantés a capella, courtes chansons accompagnées de cloches de fer, tambourinages de diverses sortes, danses successivement statiques et tournoyantes, les multiples aspects – symbolique, poétique, musical et chorégraphique – de ce ballet de cour sont tour à tour décrits et analysés. La musique qu’exécutent dans le même contexte les serviteurs du roi pour faire danser celui-ci en compagnie de ses « alliés » forme la dernière partie, plus brève, du livre. Prologue et épilogue, enfin, se font écho pour énoncer la problématique de la recherche et répondre aux questions posées. Avec ses très nombreuses photographies et ses deux disques compacts, ses textes en traduction juxtalinéaire et ses transcriptions musicales, l’ouvrage vise à donner au lecteur la représentation la plus complète possible d’un art de cour héritier d’une tradition purement africaine, ancienne et très peu connue. Etroitement complémentaire du livre, mais disponible séparément, une vidéocassette donne en même temps à voir et à entendre le déroulement des six parties successives du ballet de cour des femmes du roi.

Ce livre de 336 pages est complété de 2 CD reproduisant 76 pièces musicales ou poétiques presque toutes transcrites + une vidéocassette des danses filmées.

Source : Quatrième de couverture. Introduite par un long chapitre sur la vie musicale du palais, l’étude du ballet de cour qu’exécutent les femmes du roi à Porto-Novo (Bénin) pour d’importants rituels coutumiers constitue l’objet principal de cet ouvrage. Longs poèmes chantés a capella, courtes chansons accompagnées de cloches de fer, tambourinages de diverses sortes, danses successivement statiques et tournoyantes, les multiples aspects – symbolique, poétique, musical et chorégraphique – de ce ballet de cour sont tour à tour décrits et analysés. La musique qu’exécutent dans le même contexte les serviteurs du roi pour faire danser celui-ci en compagnie de ses « alliés » forme la dernière partie, plus brève, du livre. Prologue et épilogue, enfin, se font écho pour énoncer la problématique de la recherche et répondre aux questions posées. Avec ses très nombreuses photographies et ses deux disques compacts, ses textes en traduction juxtalinéaire et ses transcriptions musicales, l’ouvrage vise à donner au lecteur la représentation la plus complète possible d’un art de cour héritier d’une tradition purement africaine, ancienne et très peu connue. Etroitement complémentaire du livre, mais disponible séparément, une vidéocassette donne en même temps à voir et à entendre le déroulement des six parties successives du ballet de cour des femmes du roi.

Ce livre de 336 pages est complété de 2 CD reproduisant 76 pièces musicales ou poétiques presque toutes transcrites + une vidéocassette des danses filmées.

Source : Quatrième de couverture.

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