Il analyse cette ambiguïté à tous les niveaux de la culture éthiopienne et dans la marche vers la modernité. Il décrit le «~qene~» ou art de la composition qui comprend une douzaine de formes poétiques différentes et le sam-enna warq (wax and gold) en citant des exemples de poèmes chantés par les azmaris (sur l’empereur Ménélik ou le Christ par exemple).
L’auteur évoque également les formes musicales adoptées par les maîtres de la parole de Gondar et les musiques composées par les dabtaras (ménestrels) comme le Shillala (chant d’encouragement aux soldats partant à la guerre), le ho-bere (chant des paysans) ou l’engurguro (chant de tristesse). Il décrit également les instruments utilisés par les dabtaras, principalement des tambours, des sistres et des lyres. He analyzes this ambiguity at each level of Ethiopian culture and on the way towards modernity. He describes » qene ~ » , the art of the composition which includes a dozen different poetic forms and the “sam-enna warq” (wax and gold) by quoting examples of poems sung by azmaris (on emperor Ménélik or the Christ for example).
The author also evokes musical forms adopted by the masters of the word from Gondar and music composed by dabtaras (minstrels) as “Shillala” (songs of encouragement to the soldiers going to fight), the “ho-bere” (songs of the farmers) or the “engurguro” (songs of sadness). He also describes instruments played by dabtaras, mainly drums, sistrums and lyres.
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