“Le marovany (prononcer marouvane ou marovane) est un cordophone de Madagascar. C'est une sorte de cithare, une variante de la Valiha utilisé dans les régions de l'île - l'Ouest essentiellement - où le bambou ne pousse pas. Le marovany est une caisse en bois ou en tôle de forme plus ou moins parallélépipédique dotée de 8, 10, 12 (et même jusqu'à 18) cordes sur chaque flanc. Les cordes sont en fil de fer de section plus importante que ceux de la valiha tubulaire. Le Marovany a un son plus grave et plus sourd qui s'adapte mieux aux rythmes syncopés et rapides.
”
Il y a plusieurs manières de régler la valiha : la plus standard est celle utilisée sur les hautes terres, qui correspond à un règlage selon un accord diatonique classique sur deux octaves (accord lalandava). D’autres accords comprenant des tierces mineures sont utilisées notamment pour le marovany et pour l’interprétation du vieux répertoire traditionnel des hauts plateaux (accords maty roa, maty dimy).
Il est joué dans de nombreux styles de Madagascar (masikoro, musiques de trombas, ba gasy, folk, vezo, blues, etc…) et des musiciens divers l’ont adopté : Modeste Hugues, Kilema, Fenoamby, Daniel Tombo,Monja, Madagascar All Stars, Paskaal Japhet… Le «~marovany~» est une variante de la Valiha dans les régions de l’île – l’Ouest essentiellement – où le bambou ne pousse pas. C’est une caisse en bois ou en tôle de forme plus ou moins parallélépipédique dotée de 8,10 ou 12 cordes sur chaque flanc. Les cordes sont en fil de fer de section plus importante que ceux de la valiha tubulaire. Le Marovany a un son plus grave et plus sourd qui s’adapte mieux aux rythmes syncopés et rapides.
Il y a plusieurs manières de régler la valiha : la plus standard est celle utilisée sur les hautes terres, qui correspond à un règlage selon un accord diatonique classique sur deux octaves (accord lalandava). D’autres accords comprenant des tierces mineures sont utilisées notamment pour le marovany et pour l’interprétation du vieux répertoire traditionnel des hauts plateaux (accords maty roa, maty dimy).
Les grands maîtres :
– Rakotozafy
– Daniel Tombo
– Monja
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