« La couleur de l’Afrique de ma chanson » évoque un paradis evanescent, une Afrique sublimée, peut-être en train de disparaître ; « Oparapara-Para » aborde le temps qui passe, la disparition des anciens, la solitude et la mort. « Lettre à Laurent Gbagbo » pose les questions d’une réconciliation du peuple ivoirien, et « Deux-Mocrates » fustige tout à la fois, la corruption, les scandales de santé publique, le népotisme, le contrôle des médias, tout en prônant l’écologie et le panafricanisme.

“Enregistré à Libreville, au Gabon, le nouvel EP 4 titres de Pierre Akendengue, "La couleur de l’Afrique", qui sort le 9 novembre 2018, résume en quatre chansons toute une carrière de militantisme musical. ”
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