Au milieu du XX° siècle, considérée comme étant un sous-genre de la soul, la musique folk traditionnelle évolue vers une forme plus populaire. Ce procédé atteint son pic de popularité dans les années 1960. Cette nouvelle forme de musique est appelée « musique folk contemporaine » ou « folk revival music » en anglais. Ce type de folk implique également des genres fusion comme le folk rock, l’electric folk, et autres.
Histoire
Depuis les années 1990, la renaissance musicale concernant des pays en voie de développement, ainsi que la multiplication des échanges culturels et l’engouement du public pour des musiques autochtones authentiques, à la recherche de leurs racines, a pris le nom de musiques du monde (ou « world music » en anglais). Mais on peut voir les prémices de ce mouvement dès les années 1950 et 1960 dans les échanges culturels entre l’Europe, les Amériques du Nord, du Centre et du Sud, et l’Afrique.
En témoignent par exemple l’arrivée d’instruments autochtones des Andes comme la quena et le charango à Paris dans les années 1950, avec la création de groupes comme Los Incas en 1956, et Achalay en 1958, qui ont popularisé et donné plus tard une renommée mondiale au célèbre thème péruvien El cóndor pasa avec le duo folk américain Simon and Garfunkel. En témoigne aussi en 1961 la tournée européenne et l’installation à Paris pour trois ans de Violeta Parra chanteuse, autrice-compositrice, ethnomusicologue et artiste chilienne, avec ses enfants eux aussi musiciens et chanteurs : Isábel et Ángel Parra. Elle était encore à cette époque la compagne de l’anthropologue et musicien suisse Gilbert Favre, qui sera en 1966 l’un des fondateurs du célèbre groupe Los Jairas, chef de file du mouvement « néo-folklore » bolivien. Cette imprégnation de musique andine, à la fois traditionnelle et renouvelée par des mouvements comme l’Alto-folklore andin ou le Neo folklore bolivien, ou la Nueva canción chilena (nouvelle chanson chilienne), se verra confirmée dans les années 1970 lors de la venue en France et en Europe d’artistes chiliens réfugiés après le coup d’état du général Pinochet, comme les groupes Quilapayún ou Inti Illimani.
Amérique du Nord
La « folk music » désignait d’abord dans les pays de langue anglaise la musique populaire traditionnelle. Le mot anglais « folk », remis en usage par les romantiques, désigne les gens du peuple. Il a la même origine que l’allemand « Volk » qui a le sens plus large de « nation ». Il est donc possible de le traduire par « populaire ». Cependant, depuis le milieu du XX° siècle, les caractéristiques de la musique populaire ont changé : on parle désormais de musique pop, réservant le terme « folk » aux musiques populaires de tradition orale.
Aux États-Unis, les musiciens folk sont les gardiens d’une tradition musicale, parolière et historique, d’une Amérique de pionniers, bâtisseurs et voyageurs. Parmi eux : Woodie Guthrie (qui a écrit, avec This Land Is Your Land (1941), un des grands hymnes de la génération pacifiste), Doc Watson (même si sa musique est plutôt considérée comme du bluegrass à l’image de l’herbe vert foncé du Kentucky), et bien d’autres.
Le mouvement « folk revival », souvent chant de protestation, est l’expression d’un mouvement militant pour les droits de l’homme, la paix et la justice sociale. Pendant sa renaissance dans les années 1960, le « folk song » devient une expression musicale plus variée, influencée par l’esprit rebelle du rock ‘n’ roll, mais toujours d’inspiration contestataire, et se développe tout en gardant les mêmes instruments acoustiques et les mêmes textes poétiques plus proches de la réalité. Les grands noms de cette époque sont Joan Baez, Bob Dylan, Leonard Cohen, Phil Ochs et Pete Seeger. Les chansons traditionnelles décrivent souvent des paysages, des routes, la dureté de la vie d’ouvrier itinérant qu’on appelait (parfois péjorativement) « hobo », avec, parfois, une admiration pour les œuvres que les hommes bâtissaient de leurs mains (le barrage Hoover, les lignes de chemin de fer, entre autres). La génération des musiciens folk de la seconde moitié du XX° siècle sera beaucoup inspirée par les beatniks et certains écrivains comme Jack Kerouac et son roman mythique du voyage : Sur la route (1957).
Au Canada, la musique folk conserve toute son ampleur, notamment dans les prairies de l’Ouest, traditionnellement marquées par l’esprit rural sous influence country. L’histoire des pionniers, plus récente que dans l’Est, est encore très présente dans les esprits. De tels événements attirent désormais un public très diversifié. On peut constater la vitalité de ce genre au cours d’événements marquants comme le Winnipeg Folk’s Festival qui, depuis 1973, marque au Manitoba la pérennité de ce genre et attire un public éclectique venu de tout le continent.
La folk music d’outre atlantique se joue strictement avec des instruments acoustiques, qui sont considérés comme des instruments populaires parce qu’ils étaient confectionnés à leurs origines par des gens simples, et aussi parce qu’il est possible de les porter comme faisaient jadis les pionniers. On donne l’exemple des instruments utilisés dans la musique folk américaine : une guitare, un banjo, une mandoline et un harmonica mais aussi le bouzouki.
Ailleurs dans le mnde
La musique folk est aussi présente en Afrique, en Amérique du Sud, dans Les Caraïbes, l’Océan Indien, en Océanie, ou encore dans les pays de l’Océan Pacifique.
*Souce: wikipedia
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[…] Reggae, Soul Music Site : http://ayomusic.com Né : 14/09/1980 “ Née le 14 septembre 1980 près de Cologne (Allemagne), d’une mère tsigane et d’un père Yorub…, reggae, soul, blues, folk-pop et pop-rock intégrant par endroits de la juju ou de l’afro-beat […]
[…] et d’un père Yoruba, Ayo est une auteure-compositrice, guitariste et chanteuse naviguant entre folk, reggae, soul, nu-soul, blues et pop-rock intégrant par endroits de la juju ou de l’afro-beat […]
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