Mémoire, respect, responsabilité : De retour au Sénégal le 21 novembre 1945 après leur libération des camps allemands, les soldats francophones africains dits «~tirailleurs sénégalais~» sont rassemblés au camp de Thiaroye (faubourg de Dakar) en attendant de percevoir les arriérés de leurs indemintés (leurs supérieurs leur avaient promis de les régler une fois arrivés à Dakar). Au lieu de celà, ils reçurent un nouvel ordre de mobilisation. S’ensuivit une désobéïssance et la prise en otage, le 30 novembre, d’un des responsables du camp. Le lendemain 1er décembre, l’armée française bombarde le camp de Thiaroye, faisant d’innombrables victimes.
Une histoire portée à l’écran en 1988 par le cinéaste sénégalais Sembène Ousmane sous l’intitulé “Le camp de Thiaroye”.
Musiciens: Ouza (auteur / compositeur / arrangeur / interprète) ; Ablaye Sarr et Thierry (guitares solo et rythmique – “Nobel”), Max Ndiaye (basse) ; Doudou Keïta (balafon, kora) ; Cheikh Lô (batterie / percussions / poèmes dans “Thiaroye”) ; Salif Sy (claviers) ; Tonton Kopa (sax alto) ; Jean Ndiaye (trompette) ; Fina Foly / Assy Silva / Anna Maria Diatta (choeurs)
Titres:
Face A : 1. Dounya ; 2. Bouba
Face B : 1. Thiaroye ; 2. Reychou ; 3. Nobel K7 –
The Best of…Ouza
Cette cassette comporte 5 titres dont Bouba (sur la disparition mystérieuse de son frère) et le fameux Thiaroye dédié aux soldats africains de la Seconde Guerre mondiale.
Mémoire, respect, responsabilité :
De retour au Sénégal le 21 novembre 1945 après leur libération des camps allemands, les soldats francophones africains dits tirailleurs sénégalais sont rassemblés à Thiaroye (faubourg de Dakar) en attendant de percevoir les arriérés de leurs indemintés (leurs supérieurs leur avaient promis de les régler une fois arrivés à Dakar). Au lieu de celà, ils reçurent un nouvel ordre de mobilisation. S’ensuivit une désobéïssance et la prise en otage, le 30 novembre, d’un des responsables du camp. Le lendemain 1er décembre, l’armée française bombarde le camp de Thiaroye, faisant d’innombrable victimes.
Une histoire portée à l’écran en 1988 par le cinéaste sénégalais Sembène Ousmane sous le titre Le camp de Thiaroye.
Musiciens : Ouza (auteur / compositeur / arrangeur / interprète), Ablaye Sarr, Thierry dans intro Nobel (guitares solo et rythmique), Max Ndiaye (basse), Doudou Keïta ( balafon / kora), Cheikh Lô (batterie / percussions / poèmes dans Thiaroye), Salif Sy (claviers), Tonton Kopa (sax alto), Jean Ndiaye (trompette), Fina Foly / Assy Silva / Anna Maria Diatta (choeurs)
Face A
1. Dounya, 2. Bouba
Face B
1. Thiaroye, 2. Reychou, 3. Nobel
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