Au début des années 1950, Adou Elenga signe avec la maison de disques Ngoma, et s’illustre avec « Ata ndele », chantée en lingala et devenue un tube de l’époque. Cette chanson annonçant la décolonisation du Congo belge attire les foudres du pouvoir colonial et vaut à cet artiste engagé d’être arrêté en 1954. Adou Elenga décède le 4 août 1981, des suites d’une tuberculose au Sanatorium de Makala (actuel Hôpital Général de Kinshasa), laissant derrière lui de nombreux autres titres comme « Kumambele », « Pyramide, « Verebina », « Tout le monde samedi soir », « Mina kwendaKisangani », « Awala esika minene », « Oleki olekaka », « Polina ayibi soie » ou encore « Tebo ».
Laissez un commentaire
Vous devez être logged in pour poster un commentaire.