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A la fin des années 1930, Camille Feruzi fonde l’un des premiers groupes professionnels de Léopoldville (actuel Kinshasa – République Démocratique du Congo)), un quartet avec un piano, une guitare acoustique, un saxophone et bien sûr un accordéon (son instrument de prédilection). Il faudra attendre les années 1940 pour entendre « Nabala muluba », son premier hit dénonçant les mariages claniques forcés et devenu un classique de la chanson congolaise. L’année 1953 verra la création de son gros tube, « Cha Cha Cha Bay », un morceau alliant rumba congolaise, jazz et musique afro-cubaine. Ce titre fut chanté en argot congolais des rues de l’époque appelé « indubil », inspiré des dialogues des films western américains.
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