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“Tout savoir sur le Cap-Vert, son histoire musicale, ses artistes, les styles qui berce ce chapelet d'iles et ses diasporas dispersées aux quatre coins du monde, ses producteurs, ses spécialistes et  les publications autour de sa musique. C'est le pari d'Afrisson qui se définit à la différence des autres sites de musique sur l'Afrique  davantage comme une bibliothèque que comme un simple plateforme sur les jeunes talents.  ”

Tout savoir sur le Cap-Vert

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A cette occasion, Afrisson propose de vous faire découvrir un siècle  d’histoire musicale du pays , vous offre le portrait et les musiques de 133 formations du pays et de la diaspora (106 artistes et 27 groupes) comprenant leur biographie,  leur discographie et de nombreux liens vidéo . Le Cap-Vert, c’est aussi la fabuleuse histoire de producteurs capverdiens qui ont essayé  au pays, mais aussi en Europe et aux Etats-Unis de faire rayonner la culture de leur pays et dont Afrisson  vous offre le descriptif à travers 37 portraits. La richesse du Cap-Vert, c’est surtout une multitude de styles dont le cabo-zouk , le batuque porté par les choeurs de femmes de l’ile de Santiago, la morna, la coladeira et le funana , rythme de contestation bercé par l’accordéon.  Pour ceux qui veulent en savoir plus, Afrisson vous propose 8 ouvrages dédiés aux musiques capverdiennes en français et en anglais. L’équipe d’Afrisson vous entraîne à cette occasion dans un voyage sonore à travers une playlist des artistes de la diaspora. A vos écouteurs.

Joe Nina  figure marquante du kwaïto 

Pionnier du kwaïto, cette techno contestataire sud-africaine, ce cri du ghetto née au début des années 1990, Joe Nina est considéré comme le pape de la township pop. Enfant de Kwa-Thema, le township de East Rand, est une figure de légende en Afrique australe. Compositeur, parolier,  (il a écrit pour plus d’une cinquantaine d’artistes sud-africains), il est une figure incontournable de la scène sud-africaine. Découvrez  sa biographie sur Afrisson et son interview dans l’émission de notre correspondante Nicky B sur Kaya FM, la radio phare de Johannesburg.

Afrique :  une industrie musicale en progrès

Depuis une vingtaine d’années, l’industrie musicale en Afrique se structure. Formation aux droits d’auteur, création d’agences et de structures de production et de management, techniciens du son, experts en marketing digital, multiplication des collaborations avec les artistes de la diaspora qui  témoignent de leur expérience et investissent de plus en plus sur le continent. Trois acteurs du secteur témoignent.

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À propos de l'auteur

Sylvie Clerfeuille

Sylvie Clerfeuille

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