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The Americanization of Ooga Booga, premier disque américain de Hugh Masekela produit en 1965 par la MGM Records, passa inaperçu auprès du public américain, contrairement aux espérances du président la maison de disques. Jugé trop africain auprès du grand public, dans les mélodies comme dans les références, il n'a pas connu pas un grand succès.”

The Lasting Impression of Ooga Booga

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[Hugh Masekela y laissait pourtant paraître, sous la tonicité du mbombela ou jazz des townships, un style qui dominait la scène sud-africaine de l’époque, quelques influences du jazz américain dont Dizzy Gillespie (son voisin à la ville), John Coltrane et Mc Coy Tyner ainsi que des rythmes brésiliens.

Certaines compositions de l’album avaient comme auteur Miriam Makeba, sa femme de l’époque. Parmi les titres de cette première oeuvre américaine, on trouve ainsi «~Mas Que Nada~», «~Mixolydia~» et surtout «~Bajabula Bonke~» (Healing Song) qui allait devenir un de ses grands classiques. Cet album introuvable sur le marché a vu la plupart de ses titres remasterisés sur les disques The Lasting Impressions of Ooga Booga et The Lasting Impressions of Hugh Masekela.

Titres: 1. Bajabula Bonke ; 2. Dzinorabiro ; 3. Unhlanhia ; 4. Cantelope Island ; 5. U-Dwi ; 6. Masquenada ; 7. Abangoma ; 8. Mixolydia ; 9. Con Mucho Carino ; 10. Where are you going ; 11. Morolo ; 12. Bo Masekela ; 13. Unohilo

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À propos de l'auteur

Sylvie Clerfeuille

Sylvie Clerfeuille