Alors au collège Moderne de San-Pedro, Zadi Guillaume se lie d’amitié avec son idole que tout le monde surnomme « le roi du ziglibithy« , Ernesto Djédjé, dont l’épouse est son professeur d’histoire.
A la mort de Ernesto Djédjé en 1983, Blissi Tebil a jugé important de pérenniser l’œuvre de son maître musical. Depuis, Blissi Tebil diifuse le ziglibithy, soutenu par son arrangeur Bamba Yang. Parallèlement, il se consacre au CIRDMA (Centre Ivoirien pour la Recherche et la Documentation en Musicologie Africaine), dont il est le président fondateur. Cet organisme lui a permis d’aller aux USA, à UCLA (Université de Californie à Los Angeles) et à NYU (Université de New York) pour expliquer et faire la promotion des instruments traditionnels africains avec les sons qu’ils produisent à travers le logiciel Srêlê.
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