Maria Alice et Júlio Silva
En 1981, Maria Alice se rend à Lisbonne, au Portugal, et commence à se faire remarquer dans le milieu des musiciens capverdiens, soutenue entre autres par son compatriote Tito Paris. En 1992, elle enregistre son premier album « Nha Pai – Mª Bárbara – Força Di Mãe » enregistré en duo avec Júlio Silva.
Falsa Testemunho
Il lui faudra attendre 1996 et son second album « D’emcontre » pour connaître son premier succès, notamment avec le titre « Falsa Testemunho ». Pour la réalisation de cet opus, elle s’est entourée de musiciens de références (Armando Tito, Manuel Pais, Nandinho) et d’auteurs de talent (Ramiro Mendes, Toy Vieira, Quim Alves and Luis Lima) pour une œuvre où elle impose sa voix profonde et cristalline dans une série de grands classiques de la morna et de coladeira.
Autres projets
Maria Alice participe également à plusieurs compilations dont « Musica de intervenção cabo-verdiana : perguntem à Xanana » en 2000, « Palop Africa » en 2002 et « Ao Vivo no B.Leza » avec le morceau « Caramuxa » en 2003. Entre-temps, elle est en 2001 à « La Nuit du Cap-Vert » au Zénith de Paris, en France, aux côtés de Lura, Luis Morais, Ildo Lobo, Téofilo Chantre et le groupe Ferro Gaita.
Lágrima e súplica
En 2003 , elle sort l’album « Lágrima e súplica », une collection de mornas et de coladeiras mises en valeur par ses phrasés swing et émouvants, la voix du chanteur cubain Pedro Ybanez et les lignes de guitare de son compatriote Voginha.
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