Originaire de la République Démocratique du Congo, Gasandji qui signifie « celle qui éveille les consciences » en pendé (langue du peuple Pendé de la R.D.C.), nous insuffle la dimension sacrée de sa musique et de son chant (en lingala, en français ou en anglais). Selon ses créations, sa musique brasse plusieurs de ses influences… Un subtil mélange de musiques traditionnelles congolaises, de jazz, de soul, de reggae, oublier ses immersions dans la chanson française et la musique classique… Un son en dehors des styles et des tendances. Profond, humain. Universel.
Il faudra 2012 et la rencontre avec le directeur du label Plus Loin Music, Yann Martin, pour que Gasandji, qui chante pour soigner les âmes, voie enfin son disque (éponyme) paraître courant 2013. Depuis, les encouragements des professionnels se multiplient : album Coup de Cœur de l’Académie Charles Cros, Talent Edition RFI…
S’immergeant dans les musiques traditionnelles congolaises, mais aussi dans le jazz, la soul, la chanson française, la musique classique, Gasandji se fraie son chemin, personnel et original. En lingala, en français ou en anglais. Mon premier instrument c’est mon corps. Ma musique parle au cœur, mais passe d’abord par les pieds.
En 2014, Gasandji est à l’affiche des festivals européens qui comptent : le Cully Jazz Festival (Suisse), l’Africa Festival de Wuzburg, en Allemagne, où elle reçoit l’“Africa Festival Award – Wurzsburg 2014” des mains de Fatoumata Diawara, lauréate l’année précedente.
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