" "
“Jean Paul Samputu chante en six langues et dans des styles très divers : soukouss, rhumbato (un style populaire rwandais), musiques traditionnelles en 5/8, afrobeat, musiques pygmées et gospel.”

"
"

Influences musicales

Né au Rwanda en 1962, Samputu a commencé le chant en 1977 dans une chorale paroissiale, et a été influencé par les musiques rwandaises, le soukouss, le R&B, le reggae et la pop (Stevie Wonder, Bob Marley, Jimmy Cliff et Lionel Richie).

Un message de paix et de réconciliation

Survivant du génocide rwandais, Jean-Paul Samputu a remporté le Prix du meilleur artiste traditionnel africain aux Kora Awards 2003. Il est arrivé aux États-Unis en 2004 et a participé à la commémoration du 10e anniversaire du génocide au Rwanda. Il s’efforce de sensibiliser les jeunes sur le drame du génocide par des tables rondes et des forums dans les collèges et les universités du pays. Samputu a participé Freedom Awards 2005 au National National Civil Rights Museum en présence d’Oprah Winfrey et de Ruby Dee, ainsi qu’à la cérémonie d’ouverture du Golden Globe Award qui consacrait Angela Bassett.
Il a joué pour le World Culture Open au Lincoln Center de New York et à la Journée Mondiale des Réfugiés au Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés . S’y ajoutent d’autres manifestations comme la Duke Performance Series à Duke University, le Lake Eden Festival des Arts (FAEJ) en Caroline du Nord, etc…

Une importante discographie

Véritable ambassadeur culturel du Rwanda, Samputu parcourt le monde pour transmettre à son public les chants traditionnels , les danses et les rythmes rwandais, mais également un message de paix et de réconciliation.
Il a signé plusieurs albums au sein de groupes (Suzuki en 1983 et Ingendo Y’Abeza en 1984 avec Nyampinga Band, Mr. Bigirumwami en 1986 avec Ingeli) et de nombreux albums solos (Tegeka Isi en 1985 , Bahizi Beza en 1991, Ubuphura Buba Munda en 1997, Igihe Kirageze en 1999, Disi Garuka en 2000, Abaana en 2003 et Testimony from Rwanda en 2004).

"
"
"
"

À propos de l'auteur

Sylvie Clerfeuille

Sylvie Clerfeuille

Laissez un commentaire