Ses débuts
Emmanuel Etuk commence dans la musique comme chanteur solo dans le groupe de gospel The Blessers. C’est là qu’il choisit le nom de scène Dontom en raison de l’inspiration qu’il tire de l’histoire politique de son grand-père qui était alors membre du premier parlement nigérian. A cette époque, il est étudiant en communication à l’Université des Sciences et Technologie de Calabar, dans l’État de Cross River, au Nigeria.
The Revolution
Début 2011, Dontom sort « The Revolution », un album de 16 titres comprenant « I Don See My Wifey », « So Blessed », « Etiok We », « African Girl », et des featurings avec Smile Fine Face (« Harmer Da Go »), TJ (« Alaba To Bahamas »), Tosin White (« Ifeoma ») et Akon (« Flexin Dollarr »).
My Wify
Par la suite, Dontom lance son premier single, « My Wify », devenu très populaire au Nigeria et au Cameroun où la chanson est N°1 des hits, et est diffusée en boucle par les radios, télévisions, discothèques et bars.
Tournée mondiale
En 2012, Dontom est devenu le premier artiste nigérian à se produire, aux côtés d’Akon, à la CAN (Coupe d’Afrique des Nations) qui s’est déroulée au Gabon et en Guinée Equatoriale du 21 janvier au 12 février 2012. La même année, il entame une tournée de deux ans qui le mène au Cameroun, en Afrique du Sud et en Europe (France, Allemagne, Espagne, Belgique, Suisse).
Do Agric. L’agriculture, ça paye: « Cocoa na Chocolate »
En 2014, Dontom fait partie des stars africaines retenues pour soutenir la campagne « Do Agric. L’agriculture, ça paye » pour l’Afrique, soutenue par l’ONG ONE. Elles ont enregistré le tube « Cocoa na Chocolate » (le cacao, c’est le chocolat), une chanson qui parle de l’importance de l’agriculture pour le futur de l’Afrique et la lutte contre l’extrême pauvreté.
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