L’afro-beat se serait-il déplacé à Paris? Reste que la dimension pulsée, rauque, urbaine du “batteur araignée” et la beauté des chants (en pidgin, yoruba, anglais) tient à sa volonté de s’entourer de talents francophones (Cameroun, Martinique, France) mais aussi Nigérians, en particulier pour les choeurs (Orobiyi Adunni, King Odudu, Bola Dumoye, Kefee Obareki et Abiodun Oke). Une oeuvre qui confirme la force créatrice de cet artiste qui connut dans les années 1990 une sérieuse traversée du désert.
Musiciens: Tony Allen (auteur, compositeur, arrangeur, batteur, percussions, lead vocals 1, 11) ; Rody Cereyon (basse) ; Claude Dibongue (guitar) ; Fixi (Rhodes, keyboards, synthés, accordéon, vocoder voice (1), trombone (6)) ; Nicolas Giraud (trompette) ; Jean Jacques Elangue (sax ténor) ; Yann Jankielewicz (sax alto et baryton) ; Simon Andrieux (trombone) ; Yinka Ogunye (percussions) ; Seb Martel (guitare (1, 2, 4, 6)) ; Oscar Olembe (guitare (1, 3)) ; Orobiyi Adunni aka Aya (lead vocal (2, 5, 8, 9)) ; Bola Dumoye aka Switch (lead vocal (3)) ; Kefee Obareki (lead vocal (6)) ; King Odudu (lead vocal (4, 7)) ; Abiodun Oke aka Wura Samba (lead vocal (10)) ; Deborah Ohiri, Shade Orobiyi, Michael Okorie, Soji Adetona, Bola Kamson (chœurs)
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