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En 1983, le Camerounais Jean Dikoto Mandengué sort Dikoto, un album lançant son nouveau nom de scène Dikoto Mandengué (ses deux premiers albums étaient signés Jean-Karl “J.K. Mandengué”. Il y développe un afro-pop à la rythmique relevée par sa “walking bass” spécifique : croisement mélodieux de sonorités africaines, makossa (ses origines), highlife ghanéen (pratiqué avec Osibisa), rumba congolaise (jouée avec Ryko Jazz) ou musique mandingue (influence du jeu de kora), noires américaines, jazz, blues, funk, soul et rhytm’n blues ou R&B (développé lors de son exil américain) et d’afro-cubain (influence de sa jeunesse)…”

Fire

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Musiciens: Dikoto Mandengue (auteur, compositeur, basse, voix) ; Slim Pezin (arrangements, guitare, voix) ; manu Rock (percussions) ; Vincent Nguini (guitare) ; Pad Ngudu (batterie) ; Georges Rodi (claviers) ; Patrick Bourgoin (saxophone) ; Jean-Pierre Guignon (piano, claviers) ; Anne-Marie Constant / Rachel Tchoungui / Sylvia Léonardi (chœurs)

Ingénieurs du son : Dominique Blanc-Francard / Dominique Poncet / Jérome Van Der Klugt

Production : Slim Pezin

Titres:

Face A : 1. O Danga Londo O Bia ; 2. Ndolo Wongele to Mba ; 3. Ba Ndolo Basu ; 4. Hey Wandering Man (Lieve Sibold) ; 5. Diba Lam

Face B : 1. Last Munengue (Slim Pezin) ; 2. Lady Starlight (Lieve Sibold) ; 3. Palabres d’amour ; 4. Mundial (Au Président Bia) ; 5. Sona Muna Numi

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Nago Seck

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