Spirit Rising: My Life, My Music
Dans son autobiographie ou plutôt mémoire intime, « Spirit Rising : My Life, My Music » (en anglais), co-écrite avec Rachel Wenrick, Angélique Kidjo évoque son parcours de petite fille née dans un pays pauvre qui a débuté la musique à 6 ans. Elle révèle comment elle a fui le communisme en Afrique pour aller vivre en France puis aux États-Unis afin de réaliser ses rêves et devenir plus tard une artiste primée aux Grammy Awards.
Angélique Kidjo explique aussi l’importance de son travail comme Ambassadrice itinérante de l’UNICEF et le rôle de sa Fondation Batonga qui soutient les études secondaires de jeunes filles africaines en leur offrant des bourses afin qu’elles puissent un jour participer au développement de l’Afrique…
Ce livre fait suite à son opus « Spirit Rising (Live from Guest Street) » (2011), avec des titres réalisés en live avec certains de ses amis comme Dianne Reeves, Branford Marsalis, Josh Groban ou encore Ezra Koenig du groupe Vampire Weekend. On y entend des reprises du “Boléro” de Maurice Ravel (1928), “Summertime” de George Gershwin (1935) ou encore “Redemption Song” de Bob Marley (1980)…
Sa musique
Symbole d’une nouvelle image de la femme africaine, Angélique Kidjo propose (avec Jean Hébrail) un style entre soul, funk, jazz, pop, rock, juju music, gogbahoun, zilin, afro-beat, tchinkoumey et highlife chanté en fon, en mina, en yoruba, en français ou en anglais. Celle qui a chanté pour Nelson Mandela ou Barack Obama est lauréate d’un Grammy Awards aux USA, dans la catégorie « Meilleur album de musique du monde » : « Djin Djin » en 2008.
* Plus d’infos sur l’artiste : cliquer ici
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