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“Influencé par Eboa Lotin, Francis Bebey et Jean Dikoto Mandengue, l'auteur-compositeur, guitariste, percussionniste et chanteur, Henri Dikongué, né en 1967 à Douala (Cameroun), propose de l'afro-folk ou des ballades frémissantes aux harmonies vocales lègères et aux accents latin-rumba-jazz, tirés du makossa... Influencé par Eboa Lotin, Francis Bebey et Jean Dikoto Mandengue, l'auteur, compositeur, guitariste, Henri Dikongué, propose des ballades frémissantes aux harmonies vocales lègères et aux accents latin-rumba-jazz.”

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Henri Dikongué est un rebelle à l’âme sensible ; son expression, toute personnelle, est le fruit de passions, de chagrins, d’amour, de révoltes… Henri chante avec son cœur. Sa guitare rythme les mélodies, les émotions.

Une famille de musiciens

Issu d’une famille de musiciens, c’est auprès de son oncle qu’Henri Dikongué apprend la guitare acoustique. Sa grand-mère, elle, l’emmène pousser ses premières vocalises à la chorale protestante du quartier de la Briqueterie. Henri chante en « douala » ou en français et sa musique originelle est le makossa, une des musiques populaires du Cameroun dont Francis Bebey fut un des premiers promoteurs sur la scène internationale ave son fameux « Idiba » enregistré entre autres avec Manu Dibango au piano.

Henri Dikongué et Manuel Wandji

En France depuis 1985, tout d’abord à Besançon pour des études de droit (qu’il abandonne rapidement pour la musique !), Henri Dikongué rejoint la compagnie théâtrale et musicale panafricaine Masques et Tam-Tam. Il y rencontre le comédien Martin Yog, les chanteurs et musiciens Alfred M’Bongo et Manuel Wandji aka Wambo, devenu son complice. En 1989, il s’inscrit à une école de guitare classique à Paris et tente de réaliser un album qui n’aboutira pas… Ce n’est que trois ans plus tard qu’il retrouve Manuel Wandji avec qui il décide de collaborer étroitement.

C’est la vie

Ce dernier produit et arrange ses 2 premiers albums, « Wa » (1995) et « C’est la vie » (1997) qui connaît un immense succès. Une occasion pour lui de rassembler quelques uns des meilleurs musiciens camerounais tels que Etienne M’Bappé et Armand Sabal-Lecco (basse), Martin Atangana aka Martino (guitare) ou Vincent Nguini (production, composition, arrangements, basse, guitare, claviers, percussions, voix), sans oublier l’Antillaise Cathy Renoir (voix). Devenu artiste de premier plan au Cameroun, Henri Dikongué obtient également un réel succès en Europe et aux Etats Unis.
L’album « C’est la vie » sera premier aux World Music Charts Europe en Janvier 1998 et la chanson du même nom sera classée en 1997/1998 vingtième meilleure rotation francophone dans le monde.

Dès lors, Henri Dikongué tourne en Europe, en Afrique et en Amérique du Nord. La chanson « Ndutu » fera l’objet d’un spot publicitaire télévisé réalisé en 2000 par Kodak aux Etats-Unis.

Autres projets

La même année, Henri Dikongué enregistre « Mot’a Bobe » et « N’oublie jamais », suivis de « Biso nawa » (2004), des albums fidèles à son afro-folk ou ses ballades frémissantes aux harmonies vocales légères et aux accents latin-rumba-jazz, tirés du makossa

* Source : https://www.wamboproductions.com

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Nago Seck

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