Josky et Docteur Nico
Une des grandes voix de la scène congolaise, Londa Kiambukuta dit « Josky » ou « Le commandant de bord » ou « Djo Sex » commence à se faire un nom en 1969 lorsqu’il rejoint comme chanteur l’orchestre African Fiesta Sukisa du « docteur de la guitare » Nico Kasanda dit « Dr Nico « , compagnon de route de Joseph Kabasélé alias « Grand Kallé ». Auprès de ce guitariste hors pair, il perfectionne ses talents d’auteur, compositeur, arrangeur et devient populaire avec son interprétation de « Bolingo ya sens unique » (l’amour à ses unique) et « Bolingo ezali mpo na kisi te » dans l’album aux couleurs rumba intitulé Nico & l’African Fiesta Sukisa.
Josky et Franco
Josky Kiambukuta s’illustre vraiment en 1974 auprès de Franco, Simaro Lutumba et le TP OK Jazz, des adeptes de rumba et de soukouss à base de « konono », le folklore kikongo du Bas-Congo accompagnant les chants des atalakus (sorte de griots, animateurs) lors des naissances, des mariages ou des funérailles. Ses titres comme « Missile », « Monzo », « Tu es méchante », « Chacun pour soi », « Adieu ! je m’en vais »… soutenus par ce rythme syncopé sont de véritables succès et font alors la joie des noctambules habitués des discothèques du pays.
Josky et Bana OK
A la disparition de Franco en 1989, Josky Kiambukuta, Ndombé Opetum, Simaro Lutumba et Shakembo deviennent les héritiers de ce dernier, perpétuant l’école du TP OK Jazz. Mais au bout de quatre années, quelques disques et tournées, c’est la fin de cet illustre orchestre qui aura marqué tout le continent. Le 4 janvier 1994 à Bruxelles, ces trois héritiers décident de fonder le Bana OK (les jeunes de l’OK, sous entendu OK Jazz), un orchestre présidé par « le poète » Simaro Lutumba , Josky en étant le vice président. Forts de leur expérience, ils concoctent une recette (rumba / odemba / sébéné / soukouss / ndombolo) qui fait fureur auprès du public du Grand Baobab, un bar de Kinshasa où le Bana OK officie tous les dimanches. Ce succès dépassera les frontières avec les tournées africaines et occidentales et le groupe réalisera plusieurs albums dont Bakitani (1994), Cabinet Molili (1994), Trahison (1997), Toucher jouer (1998), Dernier avertissement (1999), Tonnerre Show (1999), Oui ça va (2003), Bula Ntulu (2004).
Très populaire dans le milieu musical congolais, Josky Kiambukuta a collaboré avec divers artistes dont Ricardo Lemvo (Ay Valeria !), Papa Wemba (Mwana Molokaï), Koffi Olomidé (Ngounda) et JB Mpiana & BCBG (Mumune). En 2003, alors que Bana OK est en Europe, son président, Simaro Lutumba, rentre seul à Kinshasa. Au bout de quelques mois, il est rejoint par son vieux compagnon Pépé Ndombé Opetum et plus tard par le guitariste Makosso et le chanteur Shakembo. Après 31 ans aux côtés du « grand poète Simaro », Josky Kiambukuta est rattrapé par des rumeurs qui l’accusent de vouloir faire une carrière solo…En 2005, il sort l’album Double Vie chez Bono Music. Josky et Dr Nico
Une des grandes voix de la scène congolaise, Londa Kiambukuta dit « Josky » ou « Le commandant de bord Djo Sex » commence à se faire un nom en 1969 lorsqu’il rejoint comme chanteur l’orchestre African Fiesta Sukisa de Dr Nico Kasanda, le compagnon de route du « grand Kallé Jeff$. Auprès de ce guitariste hors pair, il perfectionne ses talents d’auteur, de compositeur et d’arrangeur et devient populaire avec son interprétation de « Bolingo ya sens unique » (l’amour à ses unique).
Josky et Franco
Il s’illustre vraiment en 1974 au sein du TP OK Jazz de Franco, adepte du « soukouss » à base de « konono », ce folklore kikongo du Bas Congo accompagnant les chants des atalakus (sorte de griots, animateurs) lors des naissances, des mariages ou des funérailles. Ses titres comme « Missile », « Monzo », « Tu es méchante », « Chacun pour soi », « Adieu ! je m’en vais »…soutenus par ce rythme syncopé sont de véritables succès et font alors la joie des noctambules habitués des discothèques du pays.
Josky et Bana OK
A la disparition de Franco en 1989, Josky Kiambukuta, Ndombe Opetum et Simaro Lutumba deviennent les héritiers de Franco, perpétuant l’école du TP OK Jazz. Mais au bout de quatre années, quelques disques et tournées, c’est la fin de cet illustre orchestre qui aura marqué tout le continent. Le 4 janvier 1994 à Bruxelles, ces trois héritiers décident de fonder le Bana OK (les jeunes de l’OK, sous entendu OK Jazz), un orchestre présidé par « le poète » Simaro Lutumba, Josky en étant le vice président. Forts de leur expérience, ils concoctent une recette (rumba / odemba / sébéné / soukouss / ndombolo) qui fait fureur auprès du public du Grand Baobab, un bar de Kinshasa où le Bana OK officie tous les dimanches. Ce succès dépassera les frontières avec les tournées africaines et occidentales et le groupe réalisera plusieurs albums dont « Bakitani » (1994), « Cabinet Molili » (1994), « Trahison » (1997), « Toucher jouer » (1998), « Dernier avertissement » (1999), « Tonnerre Show » (1999), « Oui ça va » (2003), « Bula Ntulu » (2004).
Josky et Simaro
Très populaire dans le milieu musical congolais, Josky Kiambukuta a collaboré avec divers artistes dont Ricardo Lemvo (Ay Valeria ! « , Papa Wemba ( » Mwana Molokaï « ), Koffi Olomidé ( » Ngounda « ) et JB Mpiana & BCBG ( » Mumune « ). En 2003, alors que Bana OK est en Europe, son président, Simaro Lutumba rentre seul à Kinshasa. Au bout de quelques mois, il est rejoint par son vieux compagnon Pépé Ndombe Opetum et plus tard par le guitariste Makosso et le chanteur Shakembo. Après 31 ans aux côtés du « grand poète » Simaro, Josky Kiambukuta est rattrapé par des rumeurs qui l’accusent de vouloir faire une carrière solo…
Nago SECK.
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