Sam’M

Sam’M chante alors au sein de l’orchestre Catiba. Son chant peut se montrer tout aussi vif que nostalgique. Très jeune, Sam’M expérimente le mélange des genres, autant nourri de [jazz que de rythmes traditionnels comme l’esséwé, l’ambas-bay ou le ngosso. Il écoute tous les grands de l’époque qui forgeront son ouverture d’esprit, ses ambitions musicales, mais aussi ses engagements. Al Jareau, Louis Amstrong, Georges Benson, B.B. King, Sadao Watanabe, Miriam Makeba, Fela Anikulapo Kuti, Manu Dibango, Nat King Cole, Bob Marley, Joe Sample, Francis Bebey, Charles Ewandjé, Ekambi Brillant, et tant d’autres grands musiciens et paroliers qui sont pour Sam’M des références aussi éclectiques qu’incontournables.

Fondateur du Duo Sa’kharé, Sam’M signe un premier album qui mêle retour aux sources et sonorités jazz. Rido Bayonne et son groupe, avec en guest star le bassiste Etienne Mbappé de passage au Centre Culturel Français de Douala (Cameroun), l’invite en scène. Dès lors, Studios, concerts, spectacles et festivals se succèdent…

Quelques années plus tard, Sam’M quitte le Cameroun pour s’installer à Paris (France). Il s’inscrit au conservatoire en guitare jazz afin de peaufiner sa technique instrumentale et enrichir ses connaissances. Membre de plusieurs organismes musicaux internationaux, notamment le Conseil International de la Musique, le Conseil Francophone de la Chanson, il parcourt le monde. L’occasion lui est ainsi donné de rencontrer des personnalités musicales tels que le batteur Billy Cobham ou encore le bassiste Abraham Laboriel. Au Midem à Cannes, à Berlin pour le Popkomm, de New-York à Tokyo, Sam’M milite avec la plus grande énergie pour la promotion de la diversité musicale.