Arrivée en France dans les années 1980, Diaou Kouyaté devient bien vite l’une des choristes les plus sollicitées par les grands noms des musiques africaines, dont Salif Keïta, Ousmane Kouyaté, Kassé Mady Diabaté, Mario Rui Silva… Contactée par Mory Kanté, elle fera partie de l’aventure « Yéké Yéké », le fameux tube planétaire réalisé en 1987 par le joueur de kora guinéen. Depuis, elle mène une carrière solo, posant sa voix chaude aux intonations variées sur les musiques mandingues du Mali teintées de soul, pop, funk, salsa et même électro ou slam, et donnée par la guitare acoustique, le balafon (xylophone), la kora (harpe – lyre à 21 cordes), le ngoni (luth à 3 ou 4 cordes), le djembé (percussion) et de basse.
Après la sortie de son premier album solo, Doni-Doni, produit en 1996 par le label Mi Cora Son d’Otis Mbaye, alors manager de Mory Kanté, Diaou Kouyaté, surnommée « la griotte moderne » pour son look branchée et son ouverture musicale, tourne avec son groupe accompagnée de son groupe : Mairie du 18° arrondissement de Paris pour la Journée Internationale de la Femme, Mairie de Noisy-le-Grand pour la “Semaine Africaine”, Festival « Les Rendez-vous » d’Afrique à Bercy Village, Festival » Penc Mi » à la Maroquinerie, Festival » Eurafricain » à l’Olympic Café, “L’Afrique au Féminin” à l’Espace Culturel Saraaba, “Concert de Soutien au Mali” et “Fête de l’indépendance du Mali” à Saint-Denis, Le Rigoletto à Paris. Originaire du Mali, la chanteuse Diao Kouyaté surnommée » la griotte branchée » pour son look et son ouverture musicale a fait ses premiers pas dans la chanson en accompagnant sa mère, une grande diva de la musique » malinkée » mandingue. Arrivée en France dans les années 1980, elle sera l’une des choristes les plus sollicitées par les grands noms des musiques africaines dont Salif Keïta, Ousmane Kouyaté, Mario Rui Silva, etc…. Contactée par Mory Kanté, elle fera partie de la vague » Yéké Yéké « , le fameux tube planétaire réalisé en 1987. Depuis, elle mène une carrière solo, posant sa voix chaude aux intonations variées sur les musiques » mandinka » du Mali à base de guitares acoustiques, de balafon (xylophone), de kora (harpe – lyre à 21 cordes) et de djembés (percussions). De 1998 à 2002, elle a joué pour la Mairie du 18° arrondissement de Paris pour la Journée Internationale de la Femme, participé à divers grands évènements dont le Festival » Penc Mi » à la Maroquinerie, le Festival » Eurafricain » à l’Olympic Café. En juillet 2003, elle a à l’affiche à Bercy Village pour le Festival » Les Rendez-vous » d’Afrique.
Nago Seck
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